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Science 20/09/2023 13:23 Actualisé le 26/09/2023 13:58

Ce médicament contre le VIH fabriqué dans l’espace ne peut pas rentrer sur Terre

Une entreprise américaine a fabriqué dans l’espace un médicament utilisé dans le traitement du VIH, mais n’a pas reçu d’autorisation pour le faire revenir sur Terre.

Par Sarafina Spautz
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ESPACE - Un médicament utilisé dans le traitement contre le sida est coincé dans l’espace pour des enjeux de sécurité. L’entreprise Varda Space Industries s’est vu refuser le retour sur Terre de sa capsule spatiale par l’agence américaine de régulation de l’aviation (FAA). Une capsule qui contient du ritonavir, un médicament utilisé dans le traitement du VIH.

Des médicaments fabriqués dans l’espace

Tout commence en juin dernier lorsque Varda Space Industries, une start-up californienne spécialisée dans le spatial, envoie sa première capsule dans l’espace, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de l’article. Contrairement à d’autres entreprises qui parient sur le développement du tourisme spatial, l’objectif de Varda est d’établir un engin spatial à usage industriel et notamment pharmaceutique.

Cette idée a émergé après des expérimentations menées par des astronautes comme Thomas Pesquet à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) pour le compte d’entreprises pharmaceutiques comme Merck, et qui ont donné de bons résultats. Elles ont notamment montré les effets positifs de la microgravité sur la cristallisation des protéines. Les cristaux de protéines formés sont plus grands et ont une structure parfaite comparés à ceux cultivés sur Terre, comme l’explique cet article de la NASA. Ils peuvent ensuite être utilisés dans la production de médicaments et leur permettre une meilleure efficacité.

Le refus de la FAA

C’est donc avec cette idée en tête que Varda Space Industries s’est lancée dans l’aventure en espérant pouvoir faire de même avec le ritonavir. Et après deux mois passés dans l’espace, la capsule doit revenir sur Terre. Sauf que... La FAA n’a pas donné son accord à l’entreprise pour cet atterrissage.

« La demande d’utilisation de l’UTTR [nom d’une base de l’armée américaine, ndlr] comme le lieu d’atterrissage n’a pas été accordée pour le moment pour des raisons de sécurité, risques et impacts. Dans un processus distinct, la FAA n’a pas accordé de licence de rentrée. Toutes les organisations continuent de travailler pour explorer les options de rétablissement », détaille un porte-parole l’Armée de l’Air américaine à TechCrunch.

L’atterrissage est la partie la plus compliquée de la mission puisque la capsule doit rentrer dans l’atmosphère à environ 28.000km/h et donc supporter des chaleurs extrêmes. Un parachute doit ensuite s’ouvrir et ralentir sa course avant que la capsule n’atterrisse sur Terre.

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Si Varda refuse de commenter la décision, elle assure dans le tweet que sa capsule va bien et qu’elle « a été initialement conçue pour une année complète en orbite si nécessaire ». Elle ajoute : « Nous sommes heureux de continuer à collaborer avec nos partenaires gouvernementaux pour ramener notre capsule sur Terre dès que possible ».

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